Tout n'est que différenciation. Et cette différenciation s'opère dans tous les êtres, ou dirons-nous les modes (modus). Et la subjectivisation des modes est l'Homme.
L'Homme appartient à cette productivité qu'est la réalité. D'où il s'en suit qu'il se sustente. Dans cette esquisse conceptuelle et réflexive, première d'une longue série, je présenterai l'ontologie crêpienne du monde.
1. Le saladier est la totalité de la pâte.
2. Ce qui est le cas, la pâte, est l'existence et l'assemblage d'ingrédients.
3. L'image logique de la pâte est la crêpe.
4. La crêpe est la pâte douée de solidité.
5. La solidité est fonction des grains de farine élémentaires.
6. La forme générale de la crêpe est : $x^2 + y^2 = 1$.
7. Sur les crêpes qu'on ne peut faire, on ne peut pas les manger.
Loïc Wittgenek
1.1 Le monde est la totalité des œufs, non des grains de farine
RépondreSupprimer1.2 Le monde se décompose en œufs
5.534 Et nous voyons maintenant que des pseudo-crêpes telles que : « crêpe au beurre doux » , « crêpe à l'huile », crêpe normande », « crêpe alsacienne », etc., ne se laissent absolument pas cuisiner dans un saladier correct.
La 5.534 est très bien trouvée ! Même s'il m'arrive d'utiliser de l'huile pour mes crêpes.
SupprimerLes crêpes continentales sont séduisantes... Mais ont un arrière-goût amer.
Supprimer"1.1 Le saladier est la totalité de la pâte, non des ingrédients" serait plus cohérente, après réflexion
RépondreSupprimerEt donc "2. Ce qui est le cas, la pâte, est l'existence et l'assemblage d'ingrédients" aurait plus de sens en effet (toutefois ce n'est pas entièrement parfait car on remplace "les faits" par "la pâte", au singulier, ce qui éloigne un peu de ce qu'est un fait)